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10 commentaires:
mais comment tu fais ?
bouhouhouhou, je veux faire des photos comme ça.
Catherine scotchée d'admiration (décollez moi please)
Bizarre vous avez dit bizarre...
Appareillage bizarre des pierres avec les joints verticaux horizontaux...
Catherine a dit : « mais comment tu fais ? »
Maxime n'a aucun mérite : il est tombé dans Escher quand il était petit ;-)
C'est malin je me suis cassée la margoulette!!!!
Comment as tu fait pour donner cette impression de hauteur,de goulot et ces echelles qui tiennent miraculeusement...
je suis admirative! :)
Cet après midi j'ai visité une abbaye troglodyte et j'ai eu du mal à donner cette impression à mes photos,d'ailleurs je n'en suis ps vraiment satisfaite :(
Ah, ce quart de tour qui change tout!
J'ai d'abord pensé à une fonderie avec du métal en fusion, et, oui, à Escher... ah quel régal !
Tu as mis de la lumière et du sourire dans mon dimanche pluvieux ! (je vous ai assez fait rêver avec mes ciels bleus pour vous avouer le mauvais temps quand il vient!)
Un autre volontaire ?
Les fourmis s'entassent dans la flaque et pour finir cela fait un pont pour les autres
La colonie passe
Lorsque les sonneurs de cloches auront fait un tas assez conséquent, il n' y aura plus qu'à grimper dessus pour arriver au but. C'est fastoche.
There is something of M.C. Escher in this pic.
Makes you twist your head in crooked ways, so the neck is making little squeeking sounds...
Catherine : déscotches-toi vite, ça laisse des traces sur l'écran !
C'est une photo que je n'avais pas prévu de faire. Je suis entré dans l'église par une porte de coté, et, coup de chance, la lumière tombait juste comme il faut sur cet étrange et périlleux chemin vers le haut.
Anonyme : quand on tembe vers le haut, on perd un peu le sens de la perspective !
Christian : il n'y avait que toi pour vendre la mêche. Escher, évidemment !
Chaloupe : Fallait pas le faire, ça t'apprendra. Moi même, je suis monté jusqu'à mi-hauteur pour voir s'il n'y avait pas un angle intéressant, mais je suis vite redescendu pour conserver un père à mes enfants.
Nathalie : Pour la petite histoire, il s'agit de ce que l'on peut voir avec un grand angle et en s'alongeant par terre au milieu des crottes de pigeon. Escher, bien sur, mais je ne crois pas qu'il ait jamais eu à faire ça !
Cergie : Et l'on s'étonne après que nos églises de campagne se dépeuplent !
En fait ta méthode me ferait plutôt pense aux lapins dont on dit qu'ils mourraient par milliers en se précipitant contre les clôtures à lapins (en australie, au début du siècle), mais qu'à la fin, le gros de la vague finissait par passer, par dessus les corps des premiers.
Une méthode qui n'est ni morale, ni recommandable pour des personnes sensées et sensibles.
Ronald : I had actualy M.C. Escher in mind when I took that pict. But in fact of turning the head, I had to lie down on the ground ( among dove's mud) and use a wide angle lens - not as whide I would have liked it...
Ah, qui dira les sacrifices du photographe couché dans les crottes de pigeon.
Sans compter tes enfants à qui tu veux ensuite faire un câlin et qui te repoussent :"ah, papa, tu pues !"
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