30 juillet 2007

clôtures - fences




Prise le 29 juillet à 10H30

Pas grand chose à dire de cette unique photo, sinon que dimanche, j'ai oublié de me lever tôt, mais c'était pas grave, le soleil aussi.
Pour les sportifs, alors, résultat des triplettes du Maillorat du samedi : équipe première à minuit 30 sous les réverbères : les vétérans (Bambou - Joël - Maxime) - dernière mi-temps au ti-punch. Je sais c'est pas une excuse...

Not much to say about this one and only, except that on sunday morning, I forgot to wake up early enough; but nevermind, sun forgot too.
So, for the sporty ones, here are the sports results of the petanque tournament of "Le Maillorat" : first team past midnight below the street lights : the veteran's team(Bambou -Joël -Maxime) - last event of the night : rum punch with the winners. I know, I know, that's a bad excuse...

9 commentaires:

Anonyme a dit…

nous avons perdu le chemin du savoir , alors comment entendre les paroles du sage qui a bien l'air solitaire à côté de l'arbre qui ne l'est pas moins !

Peter a dit…

No Maxime, I take it as a good excuse. Anyhow, now one of your fabolous pics is there!

Algoine a dit…

bah, tu nous offres un joli jeu de verts qui filent soit vers le jaune soit vers le brun. Bien agréable.
Maintenant, c'est normal qu'en voyant tous ces pics de bois je songe à un très gros plan de la machoire mal rasée du géant vert ??? hahaha !

hpy a dit…

C'est joli - comme d'habitude! Et c'est ça, le problème. Ne pourrions-nous pas avoir une photo plus ou moins ratée à regarder, de temps en temps?

Cergie a dit…

Parfois, tu as des photos qui ne sont pas parfaites, je vais t'en citer quelques unes:
*L'orage avec le genêt flou
*Le jardin de Marguerite qu'a pas un beau blanc (tu vois, il aurait fallu te lever plus tard ce jour là...)
Ou des qui font pas rêver... trop :
*Les extérieurs de l'ile de Ré (réalistes)
*le Hérisson
*La maison hantée
Ou même des qui sont carrément moches comme
*La baraque de la zone ferroviaire au ciel noir

C'est ça que je trouve justement génial chez toi, ce coté je photographie et ma photo exprime qchose de fort et puis basta. Tant pis je veux pas faire que joli.
J'assume.
Et bien ça, c'est ce que tu m'as appris à force de zyeuter chez toi...
A assumer.

Cergie a dit…

Tu te souviens de Fromental...
A l'époque, par jeu, tu cherchais des maisons à retaper pour parisien.
Tu avais adopté le procédé que tu emploies là, le chemin qui vient de nul part ou va nul part (tour de passe-passe. En fait, il s'enfonce en tournant et longeant la clôture)
Clôtures, mais oui, ce sont elles qui écrivent le paysage. Elles sont fragiles et elles sont fortes
Elles délimitent des espaces d'emplois différents et donc des couleurs, des textures d'herbes ou de sol différentes, suivant la fréquentation et l'usage.
Oui. Ce sont les piquets qui servent d'épingles à tête et les fils de fer qui servent de fil à bâtir ce patchwork de couverture...

Anonyme a dit…

Love this lineplay! Very strong composition!
Also the variations in green that are "fenced in".

Maxime a dit…

Joseph : peut-être bien que le chemin du savoir passe par le regard ? et le sage ne se soucie probablement pas de savoir si ses paroles sont entendues. Le tir à l'arc m'a appris une chose : lorsque les doigts ont lâché la corde, il ne faut pas chercher à voir si la flèche atteint la cible (tant qu'elle n'y est pas plantée).

Peter : Anyway, my headhache was telling me that it was not a good idea to go shooting landscapes.

HPY : Je sais faire, j'en ai plein mon disque dur !

Cergie : Le beau doit-il être parfait ? C'est un sacré sujet pour le bac philo de l'an prochain. En plus personne n'est qualifié pour dire le beau. Ca me tracasse car j'aime bien la perfection formelle et je trouverais super que ça soit la recette... mais voila, j'aime aussi des trucs mal foutus ou dérangeants - comme la moche maison ferroviaire. Alors je crois que ma réponse à joseph a propos de la flèche et de la cible est une honnête réponse à ton compliment !

Je me souviens de Fromental (au fait, je crois que c'est bien un frêne), mais là c'est tout à fait involontaire. En fait j'étais faciné par ces clotures parce qu'elles étaient "ouvertes" et délimitaient des espaces à l'échelle de l'homme qui entretient son lopin, pas à celle du tracteur.

Ronald : some patchwork of green blankets, yes, and somebody has forgotten to take off the pins !

Cergie a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

Livres disponibles :
Paysages Limousins | Matière à réflexion | Lieux communs | Domaines publics

Contact : gaillard.maxime@gmail.com