16 avril 2008

reflet brisé - broken reflection




Prise le 13 avril 2008 à Beynac-Cazenac à 8H30

Un caneton se promenait
Dans les reflets d'une onde pure
Survient un photographe, qui cherchait aventure,
Et que l'inspiration en ces lieux attirait.
"Qui te rend si hardi de troubler mon image?
Dit cet esthète plein de rage :
tu vas finir en cassoulet.
...

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Prem's... Super joli !...

Claire

Algoine a dit…

La légendaire cité d'Ys... Dévastée par deux canards !!!!
J'ai toujours pensé que ces volatiles de malheur étaient d'infâmes agents du chaos !!! :D

Bon, une belle photo et le mot cassoulet dans la légende... Y en a un qui je pense va bientôt réagir... ^^

hpy a dit…

Je ne suis pas contre un bon cassoulet.

claude a dit…

Le petit pomème commençait bien, mais le mot cassoulet casse un peu la chose. Encore une très belle photo 2 canards s'aimaient d'amour tendre sur une eau bleue aux beaux reflets. C'est très "ducky" romantic.
J'aime bien le cassoulet aussi !

Anonyme a dit…

Cadré en rectangle, cela m'aurait semblé plus équilibré.
Les canards posés en bas, la masse au dessus.

*

Maxime a dit…

Bon, ben on va dire que le cassoulet l'emporte par trois voix contre deux. Je n'ai pas honte d'avouer que, si migons que soient les canards, c'est encore en confit que je les péfère...
Pour le cadrage, j'avoue que cela a été un choix un peu impulsif : je souhaitais garder la ligne brisée du mât de la gabarre, et le reflet du drapeau. Un parti pris sur le contenu, en somme, plutôt qu'un souci de composition.

Anonyme a dit…

Rendons aux canards le mérite qu'on les trouve mignons à voir. A Paris, nous en avons quelques uns aussi sur la Seine, se dodelinant solitaires, ou en petites familles bien rigolotes, qui nous rappellent, en plein coeur de la ville, la liberté de la nature.
Sinon, pour moi, c'est plutôt canard laqué chez un restaurateur chinois...
Merci aux canards dans tous les cas...

Et à Maxime pour sa très jolie photo.

Claire

Anonyme a dit…

Bon.
Pourtant dans la vie faudrait savoir faire des choix.
Soit on a tout, et on a une image bancale, disons hybride, chimérique.
Soit on sacrifie des bouts qui n'apportent rien, qu'on peut aisément imaginer, et on a une image équilibrée.
Soit plat traditionnel (le haut), soit plat nouvelle cuisine (le bas).

*

Anonyme a dit…

« les reflets de l'or rouge sur ta peau qui se moire... »
Aimé Césaire

Algoine a dit…

Bon, sinon, on se le fait quand ce cassoulet ? :D

Maxime a dit…

Jean : attends que j'attrape les canards !
sérieusement, nous n'avons pas préparé de confits cette année... Quelle déchéance !

Anonyme a dit…

c'est beau cette ligne brisée par ces deux petites bestioles.

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