virus
Prise le 10 janvier 2009 à 13H25 (mais plutôt vers 1956) à Limoges
depuis le temps qu'il trainait sur la toile, celui-là, je me doutais bien que j'allais y avoir droit.
Naturellement, c'est Cergie qui m'a tagué (on n'est jamais trahi que par ses proches).
Donc je rappelle que la victime est sensée choisir la sixième plus récente photo de son plus récent dossier, ou la sixième photo de son sixième dossier le plus récent, ou la sixième de son dossier le moins vieux -ce qui à mon sens revient au même (il a du y avoir une erreur de traduction dans la chaine).
La sixième plus récente photo, c'est le reflet des arbres dans l'étang, donc si je passe à la sixième du sixième, pas de chance pour vous, c'est celle d'une séance de repro de photos de famille (je venais d'acheter mon pied photo).
A ce jeu stupide, vous avez donc gagné l'insigne honneur de découvrir votre serviteur en culottes courtes en compagnie d'une petite copine d'alors, à une époque où il n'était pas encore intéressé à regarder sous les jupes des filles...
Et, en plus, elle ne s'accorde pas avec le format de mon blog !
Pour la peine je ne taguerai personne. La grippe est suffisamment virulente cette année !
4 commentaires:
Beau texte (pour une fois qu'on n'est pas obligé de dire que la photo est belle)!
Hpy parle de malheur, toi de virus ; ce tag est un malheur virulent qui gagnerait à se répandre sur les blogs. Cela changerait du nombrilisme qui est plutôt la règle partout.
Cette photo est un petit bonheur acidulé contagieux. De la nostalgie en barre enrobée de chocolat. Un petit garçon timide encore, séducteur déjà (la tête penchée, le sourire de travers, les yeux plissés : c’est une attitude) vêtu d’une blouse. Dans ce temps là on ne salissait pas ses belles fringues, on ne se changeait pas tous les jours. On ne s’achetait pas de toute façon des étiquettes avec des marques. Ni du gel pour les cheveux lorsqu’on était un garçon. Si les mamans des filles, comme la mienne, leur mettaient de la brillantine Roja, c’était pour des cheveux bien sains, gras et nourris. Tout de même je suis un peu déçue. J’aurais préféré que tu portes ta petite cotte bleue. Mais on ne peut tout avoir.
Tu ne dis rien du preneur d’image. Je le soupçonne d’avoir préparé la scène, il a attendu le moment juste. Je le félicite d’avoir porté un regard aimant sur ce petit couple.
C’est pas tout ça... Parlons de choses sérieuses maintenant : ainsi Maxime, tu erres, tu épies en toute discrétion les blogs ? Des blogs de fille je suis sûre. Tu crois que tu n’as pas assez à faire avec tes favoris déclarés ?
N’oublie pas : qui trop embrase mal éteint....
Merci d'avoir joué le jeu, Maxime.
Bisou...
Ayant un faible pour les chaussures j'ai tout de suite repéré les belles chaussures accompagnées de belles socquettes!
Mais on néchappe pas au charme des visages...
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