25 mars 2009

La remise - the shed




Prise le 15 mars à 9H15

Juste un petit exercice de géométrie élémentaire, qui m'avait attiré l'œil depuis le début de l'hiver. Si l'on me demandait de dessiner une maison avec un arbre, c'est à peu près ainsi que je serais capable de les représenter.

12 commentaires:

Anonyme a dit…

J'adore tous ce bois qui s'accumule ... exercice : comptez les rondins entassés dans le bûcher....

Algoine a dit…

Autre exercice : sur cette photo, où se cache le castor ? :D

PeterParis a dit…

Un arbre? Des arbres... et en morceaux! :-)

Jean-Pierre a dit…

Harmonie et sérénité sont au rendez-vous en lisière de ce bois... quel agréable jeu de teintes...

Nathalie H.D. a dit…

Ah j'aime beaucoup ton dessin. Il manque une fenêtre à ta maison pourtant, et une cheminée avec la fumée qui sort. Mais tu as bien travaillé pour faire tous les petits ronds du bois qui sèche.

Composition géométrique. J'en aime la structure bien plane. Pourtant c'est marrant, la première chose qui m'a sauté aux yeux c'est que pour moi le rapport arbres/herbe n'était pas satisfaisant. J'aurais cadré plus haut, ouvrant plus sur le ciel et les frondaisons et coupant une partie de l'herbe.

hpy a dit…

La maison était sensée soutenir l'arbre, mais un mur a cédé et l'arbre est entré, empilant ainsi un tas de bois à l'intérieur. Parfois les maisons paraissent solides, mais la réalité démontre qu'il en est autrement. Peut-être.

Lucie a dit…

Pas sûr que le p’tit prince aurait été satisfait de ton dessin. Il te l’aurait fait recommencer et de guerre lasse tu aurais trouvé la solution.
Comme je ne suis pas le Petit Prince, je vois l’homme.
*Celui qui a pris la photo et a été séduit par le contraste entre l’ordre (le bois bien rangé près de la remise) et le désordre (le bois tors et disparate en vrac dans l’abri, le fouillis de la rangée d’arbres et d’arbustes profitant sans contrainte de la lumière)
*Celui qui a rangé méthodiquement ce bois en prévision du futur.

On naît homme à feu ou non. On le devient ensuite par nécessité ou obligation.
De mes deux fils l’un l’est, l’autre non.

Je vois l’homme coupant et rangeant son bois. Je le vois car j’ai en tête une scène du film tchèque "Kolia" de 1997.
Louka (joué par le père du réalisateur), ancien violoncelliste de l'Orchestre philharmonique de Prague, est chez sa mère. Il coupe du petit bois sur un billot avec une dextérité que seule une longue pratique, telle la pratique d’un instrument, autorise et que nul acteur aussi habile soit-il ne pourrait simuler....

Tiens... Faudrait que j’adapte une faîtière inversée de ce type sur le toit disjoint du nid de mésange qui sert de maison à Marguerite.
La construction de l’abri associant bois et pierre me rappelle mes cabanes en potopoto.

Thérèse a dit…

La prochaine leçon, en se servant de la même photo, pourrait être celle des vases communiquants.

kari a dit…

It looks like the neatly stacked wood pile goes right through the wall of the stone building, and then falls apart. Lovely photo.

namaki a dit…

ah mais tu sais quoi ? il manque la cheminée et le petit chemin pour arriver jusqu'à la maison ;-)

joseph a dit…

cherchez bien où les bois se terrent, ou se stèrent , selon!

Jean-Pierre a dit…

Eh, bien, Maxime, il était temps de nous offrir ce cliché d'exception... car hier soir, je me suis aperçu que la scène avait disparu... ou plutôt notre arbre avait disparu...
Encore merci.

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